Un quart des hackers vivant aux Etats-Unis travailleraient en réalité pour le FBI, le service de renseignement intérieur américain, selon une étude réalisée par le quotidien britannique the Guardian. « L’univers souterrain des hackers informatiques a été infiltré tellement en profondeur par les services secrets qu’il est désormais sujet à la paranoïa et à la méfiance généralisée », rapporte le journal. Selon cette enquête, pour les « recruter », le FBI utilise une méthode simple et efficace : la menace de longues peines de prison. The Guardian cite la revue trimestrielle « 2600: The Hacker Quarterly » qui corrobore l’information et souligne que l’inexpérience des hackers en matière judiciaire explique qu’ils sont facilement intimidables. Le défi du FBI est maintenant d’infiltrer des groupes de « hacktivists », dont le fameux groupe Anonymous.
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