D’après le journal le figaro du jeudi 7 octobre, les événements d’Arlit ont entraîné les départs de 150 salariés d’Areva du Niger. Cela a un impact direct sur l’activité du groupe nucléaire, notamment à Imouraren, là où un projet minier devrait être mis en service en 2012/2013. Parallèlement, l’usine de transformation d’uranium situé à Arlit fonctionne mais avec de moins en moins d’intensité. Enfin, les deux mines d’Arlit, qui représentent 37% de l’extraction d’uranium du groupe, sont toujours en activités.
L’audit de sûreté commandité au général Christian Quesnot devrait être rendu d’ici la fin du mois. Il a pour objet notamment d’exposer les principes de sécurité susceptibles d’être appliqués dans le cadre d’une reprise d’activité.